Aller au contenu

Témoignage de David Onga Dhali, danseur & chorégraphe

Portrait & Témoignage

David Onga Dhali

danseur et chorégraphe

« Concernant le montage vidéo,
(voir ci-dessus, Showreel Chrysali’Art)
j’aime particulièrement le côté crescendo de l’énergie qui se dégage dans la vidéo.

En commençant avec la sérénité d’une forêt et ses jeux de lumières doux entre les branches et feuilles.

On enchaine sur les danseurs qui évoluent paisiblement dans cette nature calme et où les énergies sont contenues.

"Les contrastes sont aussi saisissants"

Enfin, terminer par un instinct primal qui prend le dessus et jette l’énergie dans toutes les directions.
Les contrastes sont aussi saisissants: la musique peut paraître douce, voire discrète, en réalité elle infuse progressivement et finit par complètement embarquer les choses dans une frénésie.

Cette vidéo n’est pas simple, elle invite au questionnement.
Qui, ou quoi, a vraiment le contrôle?

Ce n’est pas la première fois que je porte une réalisation de Chrysali’Art.
(cfr vidéo ci-dessus, lors d’un vernissage de Chrysali’Art)

A chaque fois, c’est un plaisir d’entrer dans ses créations.
Il faut toujours un petit temps d’adaptation pour appréhender ses vêtements aux coupes audacieuses mais le jeu en vaut la chandelle ! 

Au final, c’est les créations qui proposent une gestuelle au danseur. Elles enveloppent les mouvements et donnent une direction sur la manière de se mouvoir.

C’est presque comme si le vêtement prenait le dessus.
La journée de tournage était exquise !

"Le danseur est invité à exprimer ses pulsions"

Porter ce kimono blanc et noir au design improbable en plein milieu des Fagnes était une délicieuse expérience

Le danseur est invité à exprimer ses pulsions au travers de divers kimonos. Finalement, c’est l’instinct qui prend les commandes et le corps bouge seul. Les tenues de Chrysali’Art aiment jouer avec les contrastes. Elles sont sobres dans les couleurs mais puissantes dans l’énergie qu’elles renvoient. 

Elles sont élégantes et savent être exubérantes à la fois.
Elles sont sophistiquées et terriblement primitives sur certains aspects.

Quel plaisir de voir le blanc immaculé du kimono se déplacer au milieu des bruyères et fougères. »

David Onga Dhali